Il s'est mis à rapper à l'internat jésuite

Stromae sur scène au Texas, en 2015. © John Davisson / AP / SIPA
En parallèle de sa découverte de la musique, Paul Van Haver est scolarisé à l'adolescence dans l'internat jésuite de Godinne, à plus de 70 km de Bruxelles, dans les Ardennes. "On l'appelait la prison à cause de son architecture mais c'était une prison dorée", se souvient-il dans GQ. "Ma mère s'est saignée pour me le payer". Le magazine mensuel masculin qui lui a consacré un portrait précise : "Et comme c'est dans les cellules les plus fermées que se forgent les meilleures subversions, c'est là qu'il découvre le rap. Déjà, il se démarque de ses camarades de chambrée qui cherchent des samples". Stromae veut alors à tout prix "composer les boucles", quand les autres piochent des échantillons musicaux déjà créés. "Mine de rien, l'environnement était déjà très concurrentiel car tout le monde cherchait à faire le meilleur instru", relate le perfectionniste Stromae sur cette époque.
En parallèle de sa découverte de la musique, Paul Van Haver est scolarisé à l'adolescence dans l'internat jésuite de Godinne, à plus de 70 km de Bruxelles, dans les Ardennes. "On l'appelait la prison à cause de son architecture mais c'était une prison dorée", se souvient-il dans GQ. "Ma mère s'est saignée pour me le payer". Le magazine mensuel masculin qui lui a consacré un portrait précise : "Et comme c'est dans les cellules les plus fermées que se forgent les meilleures subversions, c'est là qu'il découvre le rap. Déjà, il se démarque de ses camarades de chambrée qui cherchent des samples". Stromae veut alors à tout prix "composer les boucles", quand les autres piochent des échantillons musicaux déjà créés. "Mine de rien, l'environnement était déjà très concurrentiel car tout le monde cherchait à faire le meilleur instru", relate le perfectionniste Stromae sur cette époque.
© John Davisson / AP / SIPA