Un match au bout de la nuit

© CHRISTOPHE SAIDI/SIPA (publiée le 29/03/2023)
Avec la Covid-19 qui a plané au-dessus de nous, le gouvernement français a décidé d'instaurer un couvre-feu à 23h. Le tournoi de Roland Garros, qui a innové son toit et ses "night sessions", a imposé une jauge de 5 000 personnes et une fermeture de ses portes à 21h.

Oui mais ... Sur le court Philippe Chatrier il y avait Rafael Nadal et Novak Djokovic qui ont encore une fois repoussé les limites humaines avec un troisième set grandiose. Invité à quitté le court, le public s'est finalement vu autoriser à assister à la fin du match. Le commentateur de France 2 Mathieu Lartot a même laissé ses émotions prendre le dessus en criant en suspension le mot "dérogation". La 4e manche n'a pas été aussi sensationnel qu'on l'espérait car le Serbe a conclu assez vite la rencontre après 4h11 (3-6 / 6-3 / 7-6 / 6-2). Mais le moment lui a été historique. 
Avec la Covid-19 qui a plané au-dessus de nous, le gouvernement français a décidé d'instaurer un couvre-feu à 23h. Le tournoi de Roland Garros, qui a innové son toit et ses "night sessions", a imposé une jauge de 5 000 personnes et une fermeture de ses portes à 21h. Oui mais ... Sur le court Philippe Chatrier il y avait Rafael Nadal et Novak Djokovic qui ont encore une fois repoussé les limites humaines avec un troisième set grandiose. Invité à quitté le court, le public s'est finalement vu autoriser à assister à la fin du match. Le commentateur de France 2 Mathieu Lartot a même laissé ses émotions prendre le dessus en criant en suspension le mot "dérogation". La 4e manche n'a pas été aussi sensationnel qu'on l'espérait car le Serbe a conclu assez vite la rencontre après 4h11 (3-6 / 6-3 / 7-6 / 6-2). Mais le moment lui a été historique. 
© CHRISTOPHE SAIDI/SIPA (publiée le 29/03/2023)