De la musique oui, mais pas pour l'argent

Stromae à Bruxelles en 2018 © SIPA
Faire du commercial pour vendre des disques ? Très peu pour Stromae. Dans un portrait croisé paru dans les colonnes de Libération en 2017, le chanteur belge expliquait : "Quand on me traite de gros blindé ? Si nous ne continuons pas de travailler, dans dix ans, nous n'aurons plus de quoi faire tourner notre société. Mais j'ai besoin de bosser sur autre chose, un peu dans l'ombre, pour me ressourcer. Je ne suis pas prêt à faire une grosse daube pour des histoires d'argent parce qu'alors le public me dira 'Stromae, tu sais quoi ? Va bien te faire foutre !' et il aura raison. Comme tous les Belges, j'ai une pierre dans le ventre. J'ai acheté l'appartement dans lequel nous vivons, je roule en Fiat."
Faire du commercial pour vendre des disques ? Très peu pour Stromae. Dans un portrait croisé paru dans les colonnes de Libération en 2017, le chanteur belge expliquait : "Quand on me traite de gros blindé ? Si nous ne continuons pas de travailler, dans dix ans, nous n'aurons plus de quoi faire tourner notre société. Mais j'ai besoin de bosser sur autre chose, un peu dans l'ombre, pour me ressourcer. Je ne suis pas prêt à faire une grosse daube pour des histoires d'argent parce qu'alors le public me dira 'Stromae, tu sais quoi ? Va bien te faire foutre !' et il aura raison. Comme tous les Belges, j'ai une pierre dans le ventre. J'ai acheté l'appartement dans lequel nous vivons, je roule en Fiat."
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