Sans son frère, il se serait "suicidé"

Stromae à Paris en 2015. © Antoine Cau / SIPA
Dans un documentaire intitulé Malaria Business, sur France Ô, Stromae a témoigné fin novembre 2017 sur l'autre raison qui l'a poussé à s'éloigner de la scène pendant près de trois ans : les effets secondaires d'un antipaludique, le Lariam. En juin 2015, l'artiste avait dû écourter sa tournée africaine, son Racine carrée Tour, et quitter en urgence la République démocratique du Congo. La raison ? Un épisode traumatique grave à base de paranoïa, d'hallucinations, d'insomnies et d'angoisses. "Mon frère [Luc Junior Tam, avec lui à ce moment-là, ndlr] a eu le déclic. Il s'est rendu compte qu'il y avait un truc qui n'allait pas. Et je pense que s'il n'avait pas été là, je me serais sans doute suicidé cette nuit-là. Ça, c'est sûr. Je pèse bien mes mots quand je vous dis ça. S'il n'avait pas été là, je ne pense pas que je pourrais vous parler aujourd'hui", a affirmé Stromae dans le documentaire.
Dans un documentaire intitulé Malaria Business, sur France Ô, Stromae a témoigné fin novembre 2017 sur l'autre raison qui l'a poussé à s'éloigner de la scène pendant près de trois ans : les effets secondaires d'un antipaludique, le Lariam. En juin 2015, l'artiste avait dû écourter sa tournée africaine, son Racine carrée Tour, et quitter en urgence la République démocratique du Congo. La raison ? Un épisode traumatique grave à base de paranoïa, d'hallucinations, d'insomnies et d'angoisses. "Mon frère [Luc Junior Tam, avec lui à ce moment-là, ndlr] a eu le déclic. Il s'est rendu compte qu'il y avait un truc qui n'allait pas. Et je pense que s'il n'avait pas été là, je me serais sans doute suicidé cette nuit-là. Ça, c'est sûr. Je pèse bien mes mots quand je vous dis ça. S'il n'avait pas été là, je ne pense pas que je pourrais vous parler aujourd'hui", a affirmé Stromae dans le documentaire.
© Antoine Cau / SIPA