"Bonjour, je suis désolé de dire ceci, seulement nous sommes sur terre pour nous améliorer sans cesse. Ce qu'il veut dire c'est que le bien n'est jamais trop bien et le proverbe connu donne bonne conscience pour ne pas tenter de faire mieux. Bernard Tenand." (12 juin 2020)
"Il m'a toujours semblé que ce proverbe était un résumé des enseignements de Thomas d'Aquin dans la Somme Théologique IIa IIae 26 question 5 où l'on trouve: "l'amour de l'homme pour soi-même est comme le modèle de l'amour qu'il doit avoir pour le prochain. Or le modèle l'emporte sur la copie. L'homme doit donc s'aimer soi-même de charité plus que le prochain." Je rappelle que la charité (caritas) n'est pas le fait de faire l'aumône, mais le nom de l'amour le plus pur." (09 juin 2020)
"Le commentaire de Jeannot est tout à fait vrai. Personnellement, c'est la seconde option qui m'a guidée et qui se confirme bien aujourd'hui. Le terme "acheter" me gêne un peu... Je donne pour recevoir." (03 juin 2020)
"Un vœu pieux pour ce qui me concerne tant mon être est empreint d’impulsivité, toujours prompt à réagir et surreagir. Cette impatience me fragilise et me projette sur un front hostile en soldat désarmé. J’aspire à mûrir chacune de mes réactions forcément démesurées et à tuer dans l’œuf toutes celles qui n’auraient jamais dû voir le jour. Cela m’éviterait de subir de plein fouet les revers de mon impatience. Le temps adoucit et apaise. Il nous rend plus fort et plus serein. Nos poètes modernes ont su l’exprimer en d’autres mots : « avec le temps va tout s’en va »..." (18 mai 2020)