L'avis de François (Béziers) |
Et Dieu alors ... |
"N'oubliez pas qu'à l'époque Dieu était très présent donc il y a quelque chose qui vient du Divin dans cette phrase." (04 juin 2015) |
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L'avis de Jean-jacques (Banlieue De Srasbourg) |
Dieu y pourvoira |
"Je ne suis pas d'accord avec l'interprétation donnée. Pour moi cette maxime signifie qu'il faut faire du mieux que l'on peut. Néanmoins le résultat n'est pas assuré, il y a des impondérables non maîtrisables. Mais ce n'est pas parce que le résultat n'est pas assuré qu'il ne faut pas se battre pour l'obtenir." (24 mars 2015) |
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L'avis de Paul (Toulouse) |
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"devise célèbre de Baudouin IV" (24 septembre 2012) |
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L'avis de Nicolas (Sherbrooke, Qc, Canada) |
Pensez-y |
"Définition du Larousse 2009 : Fais ton devoir sans t’inquiéter de ce qui pourra en résulter. Franchement! Voyez plus loin que le bout de votre nez! N’est-ce pas ce que votre mère vous répétait sans cesse lorsque vous étiez petit? Lorsqu’on fait une action, il faut d’abord penser aux conséquences qu’il arrivera. Il faut toujours se soucier des répercussions qui s’en suivront. Vous devez faire un geste que vous savez incorrect. Vous allez vraiment le faire, advienne que pourra? Non. Une action amène toujours une réaction. Vous le savez, vous l’avez expérimenté maintes fois lorsque vous n’étiez qu’un bambin. Il en est pareil pour votre vie quotidienne d’adulte sage et responsable. Vous avez sûrement déjà pris une décision difficile qui allait changer votre vie. N’avez-vous pas pensé, passé une nuit blanche à réfléchir quelle option est la meilleure? Ou confronté au même dilemme vous avez tout de suite accepté ou refusé, sans réfléchir, comme ça, boum! Si oui, vous avez peut-être regretté, vous vouliez sûrement revenir en arrière, et faire le choix inverse. Ne dit-on pas : on reconnaît l’arbre à ces fruits? Vous êtes l’arbre et vos actions les fruits. Il faut bien que vous actions soient belles pour que vous soyez une bonne personne? Alors, pour plaire, pensez trois fois à ce que vous allez faire, avant de faire un geste déplacé. Fais ce que tu dois, pense-y et advienne que pourra. Voilà ce que le proverbe aurait dû être." (30 janvier 2012) |
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L'avis de Vincent. ******* (Chelles) |
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"Personnellement je vois plus ce proverbe comme "deviendra ce qui pourra(devenir)". Mais cela reste une question de point de vue." (19 décembre 2011) |
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L'avis de La Miche (Fabrègues) |
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"Elevée avec ce précepte. Pas facile du tout à vivre mais tellement riche.... et si les média s'y attelaient ? Si les films, documentaires, images vécues s'y appesantissaient ? Y aurait-il moins de goujaterie (incivilité pour les bien pensants) dans notre pays ?" (07 septembre 2009) |
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L'avis de Jean (Paris) |
Devise avant d'être proverbe |
"Il s'agit plutôt d'une devise (la devise de la maison Pérusse des Cars l'écrivain Guy des Cars en est). Le proverbe est une maxime, une sentence qui a valeur générale. La devise ne s'applique qu'à ceux qui l'adoptent,en l'occurrence la famille ducale en question. Plus qu'un conseil (proverbe) donné à tous, en général, elle témoigne de l'aspiration d'une personne d'une famille d'une lignée. Elle révèle alors un sorte d'idéal de vie et ne veut pas avoir une portée générale. Faire son devoir (déjà faudrait-il le connaître ce qui n'est pas si simple) sans se soucier des conséquences bénéfiques ou non, personnelles ou générales, n'est pas une vertu donnée à tout le monde. Voilà un idéal de vie bien exigeant. A l'ordinaire on essaie de faire pour le mieux en essayant de limiter les conséquences indésirables pour soi et/ou les autres. Ce qui n'est déjà pas si mal. Mettre le Devoir au dessus de tout y compris de sa propre vie est le fait exceptionnel d'êtres humains qui, du coup, deviennent exceptionnels." (12 décembre 2008) |
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L'avis de Jean (Paris) |
Copié collé... |
"Chantal Kahambu Mme. Neumann (Kinshasa - R.d. Congo) a tout simplement fait un copié collé à partir du site : www.aide-en-philo.com/dissertations/comment-comprendre-formule-fais-dois-advienne-pourra-4869.html" (09 décembre 2008) |
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L'avis de Chantal Kahambu Mme. Neumann (Kinshasa - R.d. Congo) |
Fais ce que tu dois, advienne que pourra |
"1. - On songe aussitôt à l'idée kantienne de l'impératif sans condition, valeur absolue, qui ne se subordonne pas. Il faut dire que de part et d'autre, l'idée du devoir se trouve placée assez haut pour qu'elle soit à la fois un idéal, et un soutien pour une obéissance qui exige beaucoup de nous. En quoi l'idée n'est pas discutable, le devoir se donnant comme une valeur qui s'impose de préférence au reste. Mais la pensée populaire n'a rien du formalisme kantien. Chez KANT se pose l'idée de devoir, qui commande en tant qu'elle est la notion abstraite de l'impératif. A cet abstrait s'oppose la forme concrète du « ce que » dois ; on ne songe pas tant au commandement qu'à la finalité imposée.
2. Faut-il donc dire que les conséquences jugeront de la décision à prendre ? La formule proposée s'y refuse, et par là écarte à la fois l'hésitation et les remords. Si donc on la rapproche de la formule de Corneille, c'est l'affirmation que nous n'avons pas à suivre les conséquences, parce qu'elles sont hors de notre portée : fatalisme." (13 mai 2008) |
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L'avis de Charly (Sète) |
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"Encore faut-il savoir réellement ce qu'il nous incombe de faire, ce n'est pas toujours évident. Ceci étant, quand on fait ce qu'on peut, on fait ce qu'on doit." (21 avril 2008) |
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