"J'aime beaucoup ce que dicton que ma mère, née en 1920, emploie ironiquement lorsqu'elle entend quelqu'un soupirer. Il porte indubitablement la marque du XVIe siècle et je crois volontiers Pascal de Toulouse lorsqu'il l'attribue au Maréchal de Monluc." (26 décembre 2012)
L'avis de Alexis (Etrepagny)
Stratégique
"Pour ma part, je ne pense que vous avez pris ce proverbe à l'envers.
C'est évident que quand un "coeur soupire" c'est que forcément il s'agit d'un désir insatisfait. Pas besoin de faire un proverbe sur quelque chose d'aussi évident.
En fait je crois que ce proverbe est une règle de base de séduction. C'est le frère jumeau de "suis-moi et je te fuis; fuis-moi et je te suis" cela signifie qu'il ne faut jamais ce mettre en position de demandeur quand on séduit quelqu'un. L'amoureux lèche-botte étant tout simplement indésirable." (21 mai 2012)
L'avis de Pascal (Toulouse)
origine
"c'est une citation dite par Blaise de Monluc Maréchal de France né en 1500 à Condom dans le Gers" (23 mars 2012)
L'avis de David Le Roi (Deprime)
tragique
"Depuis que j'ai perdu mon âme soeur, cela fait 15 ans que mon coeur ne cesse de soupirer." (22 décembre 2009)
L'avis de Simon Dumais (Rimouski)
Proverbe très véridicte.
"On entend tellement souvent ce proverbe qu'il faut croire que bien des gens soupirent.
En moments d'insatisfactions ou de
fatigue, aussi lors de réflexions intenses sans réponse." (13 mars 2008)
L'avis de Claire Bret (Colombes)
C'est tellement vrai
"Quand on soupire, c'est évident qu'il y a un souci (plus ou moins grand) ou une insatisfaction ou de la fatigue. J'aime beaucoup." (08 octobre 2007)
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