L'avis de Ahmed M'rabet (Bourgogne)  |
| Absence jusifiée |
| "En contre exemple en arabe, Il est dit que l'absent détient son motif, donc on ne peut le juger que lorsqu'il soit présent pour se justifier. Question de culture !" (09 mai 2016) |
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L'avis de René Schaller (St-maurice Ch)  |
| logique(s) du groupe |
| "C'est, il me semble, un constat d'ordre sociologique. Outre le fait que de ne pas être présent dans l'espace public permet aux ragots concernant l'absent de se propager sans que dernier ne puisse s'en défendre, la logique du "téléphone arabe" (déformation du propos à mesure que le nombre d'intermédiaires augmente) renforce le processus de stigmatisation. Il semble que l'absence prolongée d'un membre du groupe soit perçue par le groupe comme une forme de rejet, (mais pour qui se prend-t-il? Il nous snobe, ne nous considère pas digne de lui?) le plus souvent de manière inconsciente. Si aucun intermédiaire n'intervient pour "modérer" le propos sur l'absent, le groupe réagit à ce sentiment par une forme de verticalité du rapport, c'est à dire qu'au sentiment d'être rejeté par l'absent celui-ci réagit par le rejet de l'absent. d'où le proverbe, mais aussi le pouvoir du modérateur qui, conscient de ce processus, peut relativiser le jugement du groupe et apaiser les sentiments inconscients de rejet." (30 avril 2012) |
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| L'avis de Lucma Adolphe (Cincinnati, Oh) |
| si c'est vrai |
| "Si c'est vrai les absents ont toujours tort donc on pourrait dire, que celui-là qui est absent est encore dans le néant même s'il existe, car il ignore ce que les autres sont entrain d'endurer soit pour le bien ou pour le mal. cependant, il faut dire qu'il est toujours mieux d'être présent pour des bonnes raisons." (30 avril 2012) |
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| L'avis de Lucie (Boucherville, Québec) |
| La facilité |
| "C'est facile de parler en mal des absents. ils ne sont pas là pour se défendre et de plus, souvent personne ne les défendra et croira les détracteurs." (04 avril 2011) |
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| L'avis de K (Liège) |
| Plus subtile que ça |
| "L'explication est plus subtile, et l'on devrait dire "il est facile de blâmer ceux qui sont absents, car ceux-ci ne sont pas en mesure de se défendre". La facilité, ou plus clairement l'absence d'obstacle au fait de blâmer quelqu'un, dans ce contexte, est à prendre comme un acte proche de la lâcheté." (28 juin 2010) |
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| L'avis de Rachel Chenu (Rennes) |
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| "Faux, je pense que c'est vrai j'en ai fait l'expérience ! On a tendance à blamer les absents : " tu n'étais pas là , de quoi tu te méles "..." (30 juillet 2009) |
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| L'avis de Charly (Sète) |
| Pas toujours. |
| "A rapprocher de " qui ne dit mot, consent". D'autre part si le débat n'en vaut pas la peine, si ce serait " s'abaisser" que d'y participer, on comprend que l'on puisse choisir le silence... ou l'absence." (31 mars 2008) |
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| L'avis de Yanick Cöté (St-basile-le-grand(québec)) |
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| "Pas certain, selon la situation, car l'absence peut-être un bon messager et même faire progresser. Il arrive parfois que la victoire est dans la fuite." (27 décembre 2007) |
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| L'avis de Thérèse (Versailles) |
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| "C'est complètement grotesque! Les absents sont très souvent l'objet de pensées émues et aimantes; on les regrette; on souhaiterait les avoir toujours près de soi." (10 août 2007) |
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