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Ce proverbe participe au concept de vie cyclique, et d’un retour chez le vieillard des qualités propres à l’enfant. Mais l’enfant cherche à conquérir l’attention et à conter ses préoccupations immédiates tandis que le vieillard veut transmettre l’expérience d’une vie. La compréhension de ce proverbe peut également être purement ironique : les radotages d’un vieillard ne vaudraient pas plus que les babillages d’un enfants malgré toute l’importance que l’un ou l’autre leur confèrent.
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