Les meilleures chansons de Henri Salvador : la playlist
Chacun, en son for intérieur, avec sa propre sensibilité, est autorisé à définir un classement des meilleures chansons de Henri Salvador. Le panel de chansons du Guyanais d'origine est toutefois tellement large qu'il est probable que les titres choisis par les uns diffèrent de ceux sélectionnés par d'autres. Proposer un classement des meilleures chansons de Henri Salvador est donc en pratique une mission plus complexe qu'il n'y paraît. Sauf à accepter qu'il y ait, dans ce classement, une part de subjectivité. Voici donc, parmi toutes les solutions possibles, un classement des meilleures chansons de Henri Salvador.
Quelles sont les meilleures chansons de Henri Salvador ?
- Une chanson douce
- Jardin d’hiver
- Faut rigoler
La playlist best-of de Henri Salvador
Le classement des chansons de Salvador
- Une chanson douce
- Jardin d’hiver
- Faut rigoler
- Syracuse
- Zorro est arrivé
- Juanita Banana
- Le travail c’est la santé
- Maladie d’amour
- Dans mon île
- Adieu foulards, adieu madras
Une chanson douce
Aussi connue sous le nom de Le Loup, la Biche et le Chevalier, Une chanson douce s’est imposée comme l’un des grands standards dans l’univers des chansons pour enfant. Interprétée pour la première fois en 1950, elle est aussi LA chanson la plus célèbre de Henri Salvador.
Paroles : Une chanson douce / Que me chantait ma maman / En suçant mon pouce / J'écoutais en m'endormant / Cette chanson douce / Je veux la chanter pour toi / Car ta peau est douce / Comme la mousse des bois.
Jardin d'hiver
Fruit d’une collaboration avec Benjamin Biolay et Keren Ann, Jardin d’hiver participe en 2000 au retour de Henri Salvador sur le devant de la scène. La chanson est choisie pour assurer la promotion de l’album Chambre avec vue.
Paroles : Je voudrais de la lumière / Comme en Nouvelle Angleterre / Je veux changer d'atmosphère / Dans mon jardin d'hiver / Ta robe à fleur / Sous la pluie de novembre / Mes mains qui courent / Je n'en peux plus de t'attendre / Les années passent / Qu'il est loin l'âge tendre / Nul ne peut nous entendre.
Faut rigoler
Dans les années 50, Henri Salvador et Boris Vian ont l’habitude de se côtoyer. C’est lors de l’un de ces moments partagés entre les deux artistes qu’est née la chanson Faut rigoler, en moins de 30 minutes seulement si l’on en croit la légende qui lui est associée.
Paroles : Nos ancêtres les Gaulois / Cheveux blonds et têtes de bois / Longues moustaches et gros dadas / Ne connaissaient que ce refrain-là / Faut rigoler / Faut rigoler / Avant qu'le ciel nous tombe sur la tête / Faut rigoler / Faut rigoler / Pour empêcher le ciel de tomber.
Syracuse
Si Syracuse s’inscrit bel et bien parmi les meilleures chansons de Henri Salvador, celui qui figure, avec Sacha Distel, dans le Dictionnaire du Jazz n’est pas le seul artiste à avoir interprété cette chanson. Yves Montand compte par exemple lui aussi parmi les interprètes de la chanson écrite par Bernard Dimey.
Paroles : Syracuse / Syracuse / J'aimerais tant voir Syracuse / L'île de Pâques et Kairouan / Et les grands oiseaux qui s'amusent / A glisser l'aile sous le vent / Voir les jardins de Babylone / Et le palais du grand Lama / Rêver des amants de Vérone / Au sommet du Fuji-Yama.>/p>
Zorro est arrivé
C’est par un pur hasard que Zorro est arrivé vient se glisser parmi les plus grands succès de Henri Salvador. Sans vraiment en avoir la certitude, Henri Salvador anticipe en 1964 la sortie de la série télévisée dédiée à Zorro. Un an plus tard, le héros masqué débarque sur le petit écran !
Paroles : Dans mon fauteuil, je regardais / Le film à la télé / Un type nommé Jojo le Bouffi / Poursuivait la pauvre Suzy / Il la coinça près de la scierie / Et très méchamment lui dit / Si tu m'donnes pas ton ranch, en moins d'deux / Je vais t'couper en deux / Puis il l'empoigna / Et alors ? Ben, il la ficela / Et alors ? / Il la mit sous la scie / Et alors ? Et alors ? / Eh, eh, Zorro est arrivé / Sans s'presser / Le grand Zorro, le beau Zorro / Avec son cheval et son grand chapeau.
Juanita Banana
A l’origine, Juanita Banana est une chanson interprétée par Tash Howard et Murray Kenton, en 1966. Traduite en français, elle est reprise par Henri Salvador, qui n’hésite pas, pour les besoins de la pochette, à se travestir en jeune Cubaine.
Paroles : Dans un village de La Havane vivait la jolie Juanita / Comme son père plantait des bananes on l'appelait Juanita banana / Elle avait une voix magnifique et rêvait d'chanter à l'opéra / Mais son père qui n'pigeait rien à la musique disait 'ma fille a une drôle de voix' / Ah, ah, ah, ah ah ah ah.