garçon

garçon manqué Sens : Filles qui a des allures de garçon.

vieux garçon Sens : Homme d'un certain âge ne s'étant jamais marié. Origine : On ne peut retracer avec exactitude l'origine de cette expression. Un garçon devient pleinement "homme" lorsqu'il se marie. Or, lorsqu'il vieillit sans qu'on lui ait passé la bague au doigt, il reste un "garçon" qui a vieilli donc un "vieux garçon".

Enterrer sa vie de garçon Sens : Enterrer sa vie de garçon est une expression qui signifie organiser une fête avec ses proches (en général les amis, cousins, frères du futur marié), la veille du mariage. Le but avoué étant de profiter d'une dernière fête en célibataire et, pourquoi pas, s'accorder une dernière fois quelques écarts. Origine : Bien que les hommes enterrent leur vie de garçon depuis le XVIIIe siècle (il s'agissait alors simplement d'un bon dîner avec des amis dans l'auberge locale), l'expression n'a quant à elle vu le jour qu'au cours du XXe siècle. Ce rituel s'est très largement répandu jusqu'à gagner la gent féminine qui, donc, enterre sa vie de jeune fille.

Garçon d'honneur Sens : Ami du futur époux qui aide aux préparatifs et à la cérémonie de mariage. Origine : Cette tradition trouverait son origine dans l'Antiquité romaine. Lors du mariage, le fiancé était accompagné de plusieurs garçons habillés comme lui afin de confondre les mauvais esprits et les empêcher de s'attaquer aux époux.

Rester garçon Sens : Rester célibataire, vierge. Origine : Cette expression vieillie est une ellipse de la locution "rester vieux garçon". Désormais peu employé, le terme "vieux garçon" désigne, souvent de manière péjorative, un homme qui n'est pas marié ou qui n'est pas en couple.

À la garçonne Sens : Comme un garçon. Origine : L'origine du mot garçonne est toute simple : c'est le féminin du mot garçon. Mot apparu à la fin du XIXe siècle, mais devenu courant durant les années folles aux alentours de 1920. Il qualifie alors un courant de mode et de vie prônant l'émancipation de la femme et l'égalité des sexes. Le roman La Garçonne de Victor Margueritte à popularisé ce mot lors de sa parution en 1922.