cousiner

verbe
cousiner , verbe

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En vidéo : le mot du champion Un petit rappel sur ce que sont les trois groupes de verbes par Guillaume Terrien, champion de France d'orthographe.
"L'astuce du champion : Les trois groupes de verbes"
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  • Le roi n'est pas son cousin Sens : Son bonheur est supérieur à celui d'un roi. Origine : Popularisée en 1690, cette expression renvoie à l'image que représente la plénitude du bonheur. En effet, s'il est de notoriété publique qu'un roi est forcément au summum du bonheur, alors ne pas être son cousin renvoie au fait que l'on est tellement heureux que le roi lui-même n'est pas digne d'être l'un de nos parents proches.
  • cousin croisé Sens : Désigne un lien de parenté précis. Origine : Si le cousin est de manière générale l'enfant de la soeur ou du frère d'un des parents, le cousin croisé est le fils du frère de la mère, ou celui de la soeur du père. Les sexes sont ainsi croisés.
  • Cousin issu de germain Sens : Fils d'un cousin germain du père ou de la mère de quelqu'un. Origine : Cette expression apparaît à la fin du XXe siècle dans le langage juridique et n'a pas changé de signification au cours du temps. On emploie aussi l'expression synonyme "cousin à la mode de Bretagne".
  • "La critique parlementaire et la critique dramatique devraient cousiner." Albert Thibaudet
  • "On fête les accordailles de la jeune Louise avec son cousin." Marguerite Yourcenar
  • "Embrassons mon cousin le conseiller garde-note." Léonor Jean Christine Soulas d'Allainval
  • "Elles étaient lasses d'histoires à dormir debout sur les dévergondages de Lisa avec le cousin." Emile Zola
  • "Ils estoient proches parents, comme ceux qui estoient enfants de deux cousins germains." Jacques Amyot
  • "nos cousins l'ange et le singe." Georg Christoph Lichtenberg
  • "Vous êtes bien bon, mon cousin. Vous dois-je beaucoup d'argent pour cette petite bêtise?" Honoré de Balzac